Determinants of performance in university taekwondo athletes

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Bibliographische Detailangaben
Französischer übersetzter Titel:Déterminants de la performance chez des athlètes universitaires en taekwondo
Deutscher übersetzter Titel:Leistungsdeterminanten bei Taekwondo-Kämpfern der Unimannschaft
Autor:Do Kim, G.; Pieter, W.; Bercades, L.T.
Erschienen in:Science & sports
Veröffentlicht:33 (2018), 1, S. e19-e24, Lit.
Format: Literatur (SPOLIT)
Publikationstyp: Zeitschriftenartikel
Medienart: Elektronische Ressource (online)
Sprache:Englisch
ISSN:0765-1597, 1778-4131
DOI:10.1016/j.scispo.2017.08.005
Schlagworte:
Online Zugang:
Erfassungsnummer:PU201804002586
Quelle:BISp

Abstract des Autors

Objectives: The purpose of this study was to determine the extent to which somatotype and taekwondo experience contributed to performance in varsity taekwondo athletes. Material and Methods: Subjects (38 males, 20.10 ± 1.98 years, 170.66 ± 7.17 cm, 63.31 ± 11.14 kg; 37 females, 19.52 ± 1.80 years, 158.61 ± 5.05 cm, 54.16 ± 9.06 kg) were athletes competing in a national varsity taekwondo championship. Win-loss records were used as a marker for performance. A Sex x Winners Anova was used to assess differences between men and women by competition result. Results: There was no Sex x Winners interaction for general taekwondo experience (omega2 = 0.02, 95% CI: 0.00–0.24; power: 0.24), or competition-specific experience (omega2 = 0.10, 95% CI: 0.00–0.32, power: 0.55), but the effects were not clear. Collapsed over sex, the winners had more general (5.90 ± 2.65 years vs. 2.94 ± 1.90 years, d = 1.35, 95%: 0.86–1.85) and competition-specific experience (4.95 ± 2.17 vs. 2.52 ± 1.75 years, d = 1.28, 95% CI: 0.85–1.71). There was no Sex main effect for ectomorphy: 3.055 ± 1.036 for the men vs. 2.386 ± 1.094 for the women: omega2 = 0.06, 95% CI: 0.00–0.28; power: 0.66 but the effect was also not clear. The effect size for the pairwise comparison was d = 0.65, 95% CI: 0.41–0.88. Conclusion: Somatotype in itself may not directly contribute to improved performance, but in combination with general and competition-specific taekwondo experience, it may be facilitated.

Abstract des Autors

But: Le but de cette étude était de vérifier dans quelle mesure le somatotype et l’ancienneté de pratique contribuent à expliquer le niveau de performance de sportifs universitaires en taekwondo. Méthodes: Les sujets (38 hommes, 20,10 ± 1,98 ans, 170,66 ± 7,17 cm, 63,31 ± 11,14 kg ; 37 femmes, 19,52 ± 1,80 ans, 158,61 ± 5,05 cm, 54,16 ± 9,06 kg) étaient des athlètes engagés en compétition dans un championnat national universitaire de taekwondo. L’analyse des « gains-pertes » de combats a permis de juger des performances réalisées par ces sportifs. Une ANOVA à deux effets prenant en compte le sexe et les gains de combats a été utilisée pour évaluer les différences entre les effets du sexe sur les résultats en compétition. Résultat: Les résultats de montrent pas d’interaction signification entre le sexe et les gains de combats pour l’ancienneté de pratique du taekwondo (omega2 = 0,02, IC 95 % : 0,00 à 0,24 ; puissance : 0,24), ou pour l’ancienneté de pratique de compétitions (omega2 = 0,10, IC à 95 % : 0,00 à 0,32, puissance : 0,55), mais les effets ne sont pas claires. Lorsqu’on fait abstraction du sexe des sportifs, les gagnants avaient une pratique plus ancienne, aussi bien de l’entraînement en taekwondo (5,90 ± 2,65 ans contre 2,94 ± 1,90 ans, d = 1,35, 95 % : 0,86 à 1,85), que de la compétition (4,95 ± 2,17 vs 2,52 ± 1,75 années, d = 1,28, IC à 95 % : 0,85 à 1,71). Le caractère ectomorphe (personne svelte, élancée, à la musculature peu développée) n’est pas influencé par le sexe (3,06 ± 1,04 pour les hommes, contre 2,39 ± 1,09 pour les femmes ; omega2 = 0,06, IC à 95 % : 0,00–0,28 ; puissance : 0,66). La taille de l’effet était de d = 0,65, IC à 95 % : de 0,41 à 0,88. Conclusion: Le somatotype en tant que tel, ne semble pas contribuer directement à la qualité des performances en taekwondo ; cependant, associé à l’ancienneté de pratique générale et en compétition, le somatotype peut contribuer à expliquer les performances en taekwondo.