Abstract

Method: Eighteen male judokas took part in the study. The following assessments were performed: vertical jump (CMJ) on a force platform; Special Judo Fitness Test (SJFT) to obtain the number of throws and percentage of the maximal heart rate (%HRmax) one minute after the test; match simulation to obtain the peak blood lactate (LACmax) and the percentage of the blood lactate removal (BLR); incremental test to obtain the velocity at the anaerobic threshold (vAT) and peak velocity (PV) reached in the test. Results: A significant correlation was observed between the number of throws in the SJFT, the vAT (r = 0.60; P < 0.01), PV (r = 0.70; P < 0.01) and CMJ (r = 0.74; P < 0.01). A significant inverse correlation was found between the LACmax and vAT (r = −0.59; P = 0.01). Conclusions: It can be concluded that the performance in the SJFT was determined by the aerobic capacity and power and the muscle power. Athletes with greater aerobic ability (vAT) presented lower blood lactate accumulation after the match. Verf.-Referat

Abstract

Objectif: Analyser les relations entre indices aérobies et neuromusculaires avec des actions spécifiques du judo. Méthodes: Dix-huit judokas ont participé à cette étude. Ont été réalisées les évaluations suivantes : saut vertical (CMJ) ; Special Judo Fitness Test (SJFT) pour l’obtention du nombre de lancements et du pourcentage de la fréquence cardiaque maximale (%FCmax) ; simulation de match pour l’obtention du taux maximal de lactate sanguin (LACmax) et du pourcentage de la diminution de lactate (DLS) ; test incrémental pour l’obtention de la vitesse au seuil anaérobie (SA) et du sommet de la vitesse (SV) atteint dans l’essai. Résultats: Il a été observé une corrélation significative entre le nombre de lancements dans le SJFT, la VLAn (r = 0,60 ; p < 0,01), SV (r = 0,70 ; p < 0,01) et le CMJ (r = 0,74 ; p < 0,01). Il a été trouvé une corrélation significative inverse entre le LACmax et la SA (r = −0,59 ; p = 0,01). Conclusions: On peut conclure que la performance dans SJFT a été déterminée par la capacité de la puissance maximale aérobie et par la puissance musculaire. Les athlètes ayant la plus grande capacité aérobie (SA) ont présenté une moindre accumulation de lactate sanguin après le match. Verf.-Referat