Acute consumption of p-synephrine does not enhance performance in sprint athletes

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Bibliographische Detailangaben
Deutscher übersetzter Titel:Akuter Konsum von p-Synephrin führt bei Sprintsportlern nicht zu einer Leistungssteigerung
Autor:Gutiérrez-Hellín, Jorge; Salinero, Juan José; Abián-Vicén, Javier; Areces, Francisco; Lara, Beatriz; Gallo, Cesar; Puente, Carlos; Del Coso, Juan
Erschienen in:Applied physiology, nutrition, and metabolism
Veröffentlicht:41 (2016), 1, S. 63-69, Lit.
Format: Literatur (SPOLIT)
Publikationstyp: Zeitschriftenartikel
Medienart: Elektronische Ressource (online) Gedruckte Ressource
Sprache:Englisch
ISSN:1715-5312, 1715-5320
DOI:10.1139/apnm-2015-0299
Schlagworte:
Online Zugang:
Erfassungsnummer:PU202306005073
Quelle:BISp

Abstract des Autors

P-Synephrine is a protoalkaloid widely used as an ergogenic aid in sports. This substance has been included in the World Anti-Doping Agency monitoring program, although scientific information about its effects on performance and athletes’ well-being is scarce. The purpose of this investigation was to determine the effectiveness of p-synephrine to increase performance in sprint athletes. In a randomized and counterbalanced order, 13 experienced sprinters performed 2 acute experimental trials after the ingestion of p-synephrine (3 mg•kg−1) or after the ingestion of a placebo (control trial). Forty-five minutes after the ingestion of the substances, the sprinters performed a squat jump, a countermovement jump, a 15-s repeated jump test, and subsequently performed 60-m and 100-m simulated sprint competitions. Self-reported questionnaires were used to assess side-effect prevalence. In comparison with the control trial, the ingestion of p-synephrine did not change countermovement jump height (37.4 ± 4.2 vs 36.7 ± 3.3 cm, respectively; P = 0.52), squat jump height (34.4 ± 3.6 vs 33.9 ± 3.7 cm; P = 0.34), or average 15-s repeated jumps height (31.8 ± 4.1 vs 32.2 ± 3.6 cm; P = 0.18). P-Synephrine did not modify maximal running speed during the 60-m (9.0 ± 0.5 vs 9.0 ± 0.4 m•s−1, respectively; P = 0.55) and 100-m sprint competitions (8.8 ± 0.5 vs 8.8 ± 0.5 m•s−1, respectively; P = 0.92). The ingestion of p-synephrine did not alter the prevalence of headache, gastrointestinal discomforts, muscle pain, or insomnia during the hours following the tests. Acute consumption of 3 mg•kg−1 of p-synephrine was ineffective to increase performance in competitive sprint athletes. Moreover, p-synephrine did not increase the occurrence of side effects after the competition.

Abstract des Autors

La p-synéphrine est un proto-alcaloïde largement utilisé à titre de facteur ergogène dans le monde du sport. Cette substance est incluse dans le programme de surveillance de l’Agence mondiale antidopage même si les informations au sujet de ses effets sur la performance et le bien-être de l’athlète sont minimales. Cette étude se propose de déterminer l’efficacité de la p-synéphrine dans l’amélioration de la performance des sprinteurs. Selon un ordre contrebalancé et aléatoire, 13 sprinteurs d’expérience participent à deux essais expérimentaux ponctuels après la consommation de p-synéphrine (3 mg·kg–1) ou d’un placebo (contrôle). Quarante-cinq minutes après la consommation des substances, les sprinteurs effectuent un saut à partir d’une position assise, un saut avec contremouvement préparatoire, un test de saut répété durant 15 s et, par la suite, une compétition simulée comportant un sprint sur 60 m et sur 100 m. On demande aux participants de répondre à un questionnaire d’autoévaluation au sujet des effets secondaires des substances. Par rapport à l’essai de contrôle, la consommation de p-synéphrine ne suscite pas une modification de la hauteur du saut avec contremouvement préparatoire (37,4 ± 4,2 vs 36,7 ± 3,3 cm, respectivement, P = 0,52), du saut à partir de la position assise (34,4 ± 3,6 vs 33,9 ± 3,7 cm; P = 0,34), de la moyenne de la hauteur des sauts répétés en 15 s (31,8 ± 4,1 vs 32,2 ± 3,6 cm; P = 0,18). La p-synéphrine ne suscite pas de modification de la vitesse de course au sprint de 60 m (9,0 ± 0,5 vs 9,0 ± 0,4 m·s−1, respectivement; P = 0,55) et de 100 m (8,8 ± 0,5 vs 8,8 ± 0,5 m·s−1, respectivement; P = 0,92). La consommation de p-synéphrine ne modifie pas la prévalence des céphalées, des malaises gastro-intestinaux, des douleurs musculaires et de l’insomnie dans les heures suivant les tests. La consommation ponctuelle de 3 mg·kg–1 de p-synéphrine ne permet pas d’améliorer la performance des sprinteurs de compétition. En outre, la p-synéphrine ne suscite pas d’augmentation des effets secondaires après la compétition. [Traduit par la Rédaction]