Abstract

Das IOC hat seinem Präsidenten einen Herzenswunsch erfüllt: Es hat Olympische Jugendspiele eingeführt und im Spätsommer 2010 in Singapur zum ersten Mal veranstaltet. Diese Jugendspiele sind kein guter Gedanke. Zum einen verkennt das IOC mit dieser vermeintlich sinngerechten Ergänzung das eigene Projekt der Olympischen Idee: Sie ist, wohlverstanden, keine pädagogische, sondern eine sportlich-kulturelle Idee. Zum anderen verkennt es die neue Zielgruppe: Die jungen Athleten und Athletinnen sind bereits dieselben wie ihre erwachsenen Sportsfreunde, nur zeitversetzt etwas früher in ihrer Laufbahn, aber auf dieser selbst ebenfalls schon lange unterwegs. Folgerichtig haben sie in Singapur das über das Sportliche hinausgehende Bildungsangebot an „Olympischer Erziehung“ genauso resonanzarm an sich abprallen lassen wie ihre älteren Kollegen bei den „richtigen“ Spielen. Sie blieben fokussiert auf die Erbringung ihrer sportlichen
Leistung, so erfolgreich wie möglich. Und sie taten recht darin. Als Kehrseite der Medaille aber zeigten die Jugendspiele viele Facetten auch ihres hässlichen Gesichtes. Verf.-Referat

Abstract

The IOC fulfilled its president’s great desire by introducing the Youth Olympic Games and executing them for the first time in Singapore in the late summer of 2010. However, these youth games are not a good idea. The IOC wanted to make a sensible contribution, but it ignored the Olympic idea, which is not understood as a pedagogical idea, but as a sportive, cultural idea. In addition, it ignores its new addressee. The young athletes have already become similar to the grown-up athletes, but are just a bit earlier in their careers and experiences. Consequently the younger athletes in Singapore similarly ignored the educational program exceeding the sportive part of the “Olympic education,” just as their older colleagues did at the “real games.” They focused on making the sportive performance as successful as possible – and they were right to do so. However, the reverse side of the Youth Games additionally showed many facets of a nasty nature. Verf.-Referat

Abstract

Le CIO a réalisé le grand voeu de son président: il a approuvé l’organisation des Jeux olympiques de la jeunesse. Ils Ils se sont d´roulés pour la première fois en août 2010 à Singapour pour la première fois. Ces Jeux de jeunesse ne sont sont pas une bonne idée. Avec ce supplément apparemment logique le CIO interprète mal le vrai projet de l’Idée Olympique : bien entendue, elle n’est pas une idée pédagogique, mais une idée sportivo-culturelle. De plus, le CIO connaît mal ce nouveau groupe de cible. Les jeunes athlètes sont les mêmes que leurs amisathlètes adultes, avec seulement un certain écart d’âge en ce qui concernant leur carrière sur laquelle ils sont déjà en route depuis longtemps. En conséquence, les jeunes athlètes ont ignoré le programme culturel et éducatif reposant sur les valeurs de l’olympisme offert à Singapour. Avec le même manque d’enthousiasme manifesté par leurs collègues plus âgés lors des « vrais » Jeux. Ils se sont concentrés sur les rendements sportifs pour avoir les succès les plus grands possibles. Ils ont bien fait. Le revers de la médaille est que les Jeux de la jeunesse ont ainsi montré beaucoup de facettes déagréables de leur image. Verf.-Referat