Lignes directrices éclairées par des données probantes sur l’activité physique à l’intention des Canadiens adultes

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Bibliographische Detailangaben
Deutscher übersetzter Titel:Evidenz-informierte Richtlinien zur körperlichen Aktivität für kanadische Erwachsene
Autor:Warburton, Darren E.R.; Katzmarzyk, Peter T.; Rhodes, Ryan E.; Shephard, Roy J.
Erschienen in:Applied physiology, nutrition, and metabolism
Veröffentlicht:32 (2007), S2F, S. S17-S74, Lit.
Format: Literatur (SPOLIT)
Publikationstyp: Zeitschriftenartikel
Medienart: Elektronische Ressource (online) Gedruckte Ressource
Sprache:Französisch
ISSN:1715-5312, 1715-5320
DOI:10.1139/H07-168
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Online Zugang:
Erfassungsnummer:PU201802001116
Quelle:BISp

Abstract des Autors

This review of the literature provides an update on the scientific biological and psychosocial bases for Canada’s Physical Activity Guide for Health Active Living, with particular reference to the effect of physical activity on the health of adults aged 20–55 years. Existing physical activity guidelines for adults from around the world are summarized briefly and compared to the Canadian guidelines. The descriptive epidemiology of physical activity and inactivity in Canada is presented, and the strength of the relationship between physical activity and specific health outcomes is evaluated, with particular emphasis on minimal and optimal physical activity requirements. Finally, areas requiring further investigation are highlighted. Summarizing the findings, Canadian and most international physical activity guidelines advocate moderate-intensity physical activity on most days of the week. Physical activity appears to reduce the risk for over 25 chronic conditions, in particular coronary heart disease, stroke, hypertension, breast cancer, colon cancer, type 2 diabetes, and osteoporosis. Current literature suggests that if the entire Canadian population followed current physical activity guidelines, approximately one-third of deaths related to coronary heart disease, one quarter of deaths related to stroke and osteoporosis, 20% of deaths related to colon cancer, hypertension, and type 2 diabetes, and 14% of deaths related to breast cancer could be prevented. It also appears that the prevention of weight gain and the maintenance of weight loss require greater physical activity levels than current recommendations.

Abstract des Autors

Cet article fait le tour des dernières études scientifiques sur les fondements biologiques et psychosociaux du Guide d’activité physique canadien pour une vie active saine et porte une attention particulière à l’effet de l’activité physique sur la santé des adultes âgés de 20 à 55 ans. Nous exposons brièvement les directives provenant d’un peu partout dans le monde en matière d’activité physique à l’intention des adultes et nous les comparons aux directives canadiennes. Nous présentons l’épidémiologie descriptive de l’activité physique et de l’inactivité physique et nous analysons l’importance de la relation entre l’activité physique et certaines répercussions sur la santé en mettant l’accent sur les quantités minimale et optimale requises à cette fin. En conclusion, nous mentionnons des pistes de recherche particulières. En bref, les directives canadiennes et la plupart des directives issues des autres pays recommandent la pratique d’activité physique d’intensité modérée presque tous les jours de la semaine. L’activité physique diminue fort probablement le risque de souffrir de plus de 25 conditions chroniques, notamment la maladie coronarienne, l’accident cérébrovasculaire, l’hypertension, le cancer du sein, le cancer du côlon, le diabète de type 2 et l’ostéoporose. D’après les études recensées, si la population canadienne entière adhérait aux recommandations du Guide, on éviterait environ un tiers des décès associés à la maladie coronarienne, un quart des décès associés à l’accident cérébrovasculaire et à l’ostéoporose, un cinquième des décès associés au cancer du côlon, à l’hypertension et au diabète de type 2 et un septième des décès associés au cancer du sein. Il semble aussi que la prévention du gain de poids et le maintien de la perte de poids exigent de plus gros efforts que ne l’indiquent les recommandations actuelles.