Changes in leg-spring behavior during a 5000 m self-paced run in differently trained athletes

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Bibliographische Detailangaben
Französischer übersetzter Titel:Modifications des caractéristiques du modèle masse-ressort lors d’une course de 5000 m chez des athlètes différemment entraînés
Deutscher übersetzter Titel:Veränderungen des Beinfeder-Verhaltens während eines Laufs über 5000 Meter bei unterschiedlich trainierten Sportlern
Autor:Girard, O.; Millet, G.; Slawinski, J.; Racinais, S.; Micallef, J.-P.
Erschienen in:Science & sports
Veröffentlicht:25 (2010), 2, S. 99-102, Lit.
Format: Literatur (SPOLIT)
Publikationstyp: Zeitschriftenartikel
Medienart: Elektronische Ressource (online) Gedruckte Ressource
Sprache:Englisch
ISSN:0765-1597, 1778-4131
DOI:10.1016/j.scispo.2009.10.001
Schlagworte:
Online Zugang:
Erfassungsnummer:PU201612008734
Quelle:BISp

Abstract des Autors

Aims: To explore whether fatigue-induced changes in spring-mass behavior during a 5000 m self-paced run varied according to the runner's training status. Methods and results: Six highly- and six well-trained triathletes completed a 5000 m time trial. Running velocity and vertical stiffness decreased significantly (P < 0.05) with fatigue, whereas leg stiffness remained constant. None of these parameters displayed a significant interaction between fatigue and training status, despite vertical stiffness being higher (P < 0.05) in highly-trained triathletes. Conclusions: During a 5000 m self-paced run, impairments in leg-spring behavior that occur with fatigue are not affected by athletes’ training status.

Abstract des Autors

Objectifs: Étudier, chez des athlètes de niveaux différents, les modifications de raideur mécanique liées à l’apparition de la fatigue lors d’une course de 5000 m. Synthèse des faits: Six triathlètes très entraînés et six autres bien entraînés ont réalisé une course de 5000 m. La vitesse de course et la raideur verticale diminuaient significativement (p < 0,05) avec la fatigue, alors que la raideur de la jambe demeurait inchangée. Aucune interaction entre la fatigue et le niveau d’entraînement n’a été détectée, malgré des niveaux de raideur verticale plus élevés (p < 0,05) chez les sujets les mieux entraînés. Conclusions: Lors d’une course de 5000 m chez des triathlètes entraînés, les modifications de la raideur mécanique induites par la fatigue ne dépendent pas de leur niveau de pratique.