Relative and absolute reliability of specific kickboxing circuit training protocol in male kickboxers

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Bibliographische Detailangaben
Französischer übersetzter Titel:Reproductibilité relative et absolue d’un protocole de circuit spécifique d’entraînement en kickboxing chez des kickboxeurs masculins
Deutscher übersetzter Titel:Relative und absolute Reliabilität eines sportartspezifischen Circuittrainingsprotokolls für männliche Kickboxer
Autor:Ouergui, I.; Marzouki, H.; Houcine, N.; Franchini, E.; Gmada, N.; Bouhlel, E.
Erschienen in:Science & sports
Veröffentlicht:31 (2016), 4, S. e65-e72, Lit.
Format: Literatur (SPOLIT)
Publikationstyp: Zeitschriftenartikel
Medienart: Elektronische Ressource (online)
Sprache:Englisch
ISSN:0765-1597, 1778-4131
DOI:10.1016/j.scispo.2016.01.004
Schlagworte:
Online Zugang:
Erfassungsnummer:PU201611007623
Quelle:BISp

Abstract

Objective: Kickboxing is a sport that elicits high metabolic and technical demands. The effectiveness of training methods in kickboxers has been assessed using different functional and activity outcome measures. The purpose of the current study was to investigate the relative and absolute reliability and the usefulness of a specific kickboxing circuit training protocol (SKCTP) in well-trained kickboxers. Methods: Twenty kickboxers participated in the study (mean ± SD): age: 21.3 ± 2.7 years, height: 170 ± 5.0 cm, body mass: 73.9 ± 13.9 kg. The athletes performed the SKCTP twice separated by 7 days. Hormones (cortisol, testosterone, growth hormone [GH]), blood lactate ([La]), blood glucose, were measured at rest and after circuit and delta (Δ) (the difference between rest and after circuit values) was determined. Heart rate (HR) and rating of perceived exertion (RPE) were recorded after each round (R) and the circuit was video-taped for subsequent technical analysis. Relative reliability was determined using an intraclass correlation coefficient (ICC), and absolute reliability with coefficient of variation (CV), standard error of measurement (SEM), and the minimal detectable change at the 95% confidence interval (MDC95). Results: Relative reliability (ICC) for hormonal, physiological parameters and RPE scores ranged from fair to good (0.4–0.8) except for [La] which was poor (ICC < 0.40). ICC was excellent for the technical performances (ICC > 0.90) indicating an excellent agreement from a relative perspective. Absolute reliability expressed as the coefficient of variation (CV) was low for delta lactate, glucose rest and after circuit, HR, RPE and technical performances (0.55–9.3%), while it was relatively high for lactate, GH, cortisol and testosterone (15.6–88.4%). SEM was also relatively high for these parameters. However, the SEM was low for glucose values (after circuit, 2.7%), for HR (3.7, 2.8, 2.3, after round 1, 2, and 3 respectively), and for RPE after round 2 (4.8%) and 3 (3.6%). The mean bias ± 95% limits of agreement were acceptable for most of the hormonal and metabolic parameters selected. For kickboxing techniques, bias ± 95% limits of agreement were –2.3 ± 5.6 for punches, 0.9 ± 3.3 for kicks, –0.7 ± 2.4 for punches combinations, and 0.9 ± 3.3 for punches/kicks combinations. The smallest worthwhile changes (SWC) for the punches, kicks, punches combinations and punches/kicks combinations were 7, 3, 2 and 3 respectively, therefore exceeding the SEM and rating the SKCTP as “good”. Conclusion: The SKCTP is reproducible in trained kickboxers. It can be used as a training tool that simulates combat kickboxing in terms of its metabolic and technical requirements.

Abstract

Objective: Le kickboxing est un sport qui implique de fortes exigences métaboliques et techniques. L’efficacité de l’entraînement était évaluée à l’aide de différentes mesures métaboliques et physiques chez des spécialistes de kickboxing. L’objectif de la présente étude était d’étudier la reproductibilité relative et absolue et l’utilité d’un circuit d’entraînement spécifique de kickboxing (SKCTP). Méthodes: Vingt kickboxeurs ont participé à l’étude (moyenne ± écart-type) : âge : 21,3 ± 2,7 ans, taille : 170 ± 5,0 cm, masse corporelle : 73,9 ± 13,9 kg. Les athlètes ont réalisé le SKCTP deux fois dans un intervalle de 7 jours. Les hormones (cortisol, testostérone, hormone de croissance [GH]), la lactatémie ([La]) et la glycémie étaient mesurées avant et après circuit. La fréquence cardiaque (FC) et la perception de l’effort (RPE) étaient évaluées après chaque round (R) et le circuit était filmé pour analyse technique ultérieure. La reproductibilité relative était déterminée à l’aide du coefficient de corrélation intra-classe (CCI) et la reproductibilité absolue au moyen du coefficient de variation (CV), de l’erreur standard de mesure (ESM) et du changement minimal détectable dans un intervalle de confiance de 95 % (CMD95). Résultats: Le CCI pour l’ensemble des paramètres étudiés était de 0,4 à 0,8, à l’exception du [La] dont le CCI était faible (<0,40) avant et après le circuit. Par contre, pour les performances techniques, le CCI était > 0,90. La reproductibilité absolue exprimée par le coefficient de variation (CV) était relativement faible pour le delta lactate, la glycémie au repos et après le circuit, la FC, la RPE et les performances techniques (0,55–9,3 %), alors qu’elle était assez élevée pour le lactate, l’hormone de croissance, le cortisol et la testostérone (15,6 à 88,4 %). L’ESM était aussi relativement élevé pour ces paramètres. Cependant, l’ESM était faible pour les valeurs de glycémie (après circuit, 2,7 %), pour la FC (3,7, 2,8, 2,3, après le round 1, 2 et 3, respectivement), et pour la RPE après le round 2 (4,8 %) et 3 (3,6 %). Les biais moyens (bias) ± 95 % des limites de concordance (LOA) étaient acceptables pour la plupart des paramètres hormonaux et métaboliques étudiés. Pour les techniques de kickboxing, les biais ± 95 % des limites de concordance étaient de –2,3 ± 5,6 pour les coups de poings, de 0,9 ± 3,3 pour les coups de pieds, de –0,7 ± 2,4 pour la combinaison de coups de poings, et de 0,9 ± 3,3 pour les combinaisons coups de poings–coups de pieds. La plus petite variation utile (PPVU) pour les coups de poings, coups de pieds, combinaison des coups de poings et la combinaison coups de poings–coups de pieds étaient de 7, 3, 2 et 3 respectivement, dépassant l’ESM, suggérant que le SKCTP est noté comme « bon ». Conclusion: Ces données suggèrent que le SKCTP est reproductible chez les kickboxeurs entraînés. Il peut être ainsi utilisé comme outil d’entraînement simulant le combat de kickboxing en termes d’exigences métaboliques et techniques.