Triathlon injury : an update

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Bibliographische Detailangaben
Deutscher übersetzter Titel:Verletzungen beim Triathlon: ein Update
Autor:Vleck, Veronica; Millet, Grégoire Paul; Alves, Francisco Bessone
Erschienen in:Schweizerische Zeitschrift für Sportmedizin und Sporttraumatologie
Veröffentlicht:61 (2013), 3, S. 10-16, Lit.
Format: Literatur (SPOLIT)
Publikationstyp: Zeitschriftenartikel
Medienart: Elektronische Ressource (online) Gedruckte Ressource
Sprache:Englisch
ISSN:1022-6699, 1422-0644
Schlagworte:
Online Zugang:
Erfassungsnummer:PU201401000821
Quelle:BISp

Abstract

Although the variety of distances, formats and age-groups that are involved in triathlon make it a useful model to investigate the effects of multi-discipline endurance training and competition on injury risk across the life-span, this opportunity has not been taken advantage of. Most studies are limited by their retrospective nature, recall periods; and failure to consistently or adequately report subject age-group, gender, ability level, and event focus; injury occurrence, distribution, outcome, and or potential risk factors. The sudden death rate for competition is 1.5 (0.9–2.5) deaths per 100 000 participations but 29–91% of triathletes may be affected by injury ‘causing cessation or reduction of training or seeking of medical aid’ at any one time. Most such injuries are minor to moderate severity overuse, or abrasion injuries. The knee, ankle/foot and lower back are commonly afflicted, with increasingly less effect on running, cycling and swimming training. As many injured athletes continue training, recurrence is likely to be high. A consensus statement on the definition and reporting of both first time and recurrent injury must be developed, and longitudinal prospective studies need to be conducted, before the extent of, and ways to ameliorate, the injury problem can become clear. Verf.-Referat

Abstract

Bien que la variété des distances, des formats et des tranches d’âge qui sont impliqués dans le triathlon en font un modèle utile pour étudier les effets de l’entraînement en endurance multi-discipline et la compétition sur le risque de blessures au fil du temps, cette possibilité n’a pas été mise à profit. La plupart des études sont limitées par leur nature rétrospective, les périodes de rappel, leur manque de consistance et ne tiennent pas compte des groupes d’âge, du sexe ou du niveau de capacité, ni des particularités telles que la survenue des blessures, leur distribution, leur évolution et ou des facteurs de risque potentiels. Le taux de mort subite en compétition est de 1,5 (0,9 à 2,5) décès pour 100 000 participants, mais 29 à 91% des triathlètes peuvent être affectés par une blessure, cause d’une cessation ou d’une réduction de l’entraînement et rechercher l’aide médicale à un moment donné. La plupart de ces blessures sont de gravité mineure à modérée et sont en relation avec un over-use, ou sont des blessures d’’abrasion. Le genou, cheville/pied et le bas du dos sont souvent concernés, avec de plus en plus d’impact sur la capacité à s’entraîner en course, en cyclisme et en natation. Malgré leurs blessures, de nombreux triathlètes poursuivent leur entraînement, le risque de récidive est potentiellement élevé. Une déclaration de consensus sur la définition et la survenue des blessures récurrentes doit être développée, et des études prospectives longitudinales doivent être réalisées dans le but d’améliorer les connaissances et de prévenir la récidive des blessures en triathlon. Verf.-Referat