Abstract

Objective: The objective of this work was to verify if there was a difference in throwing speed performance between heavier and lighter weight categories in judo. Methods and subjects: Sixteen (16) judoists 18 ± 3 years old, eight considered in the lightweight category (< 66 kg) and eight considered in the heavyweight (> 73 kg) category, participated in the study after signing a term of informed consent. A force–velocity test was used to determine the anaerobic power, strength, and pedal speed for each subject. In addition, three trials of Nage-komi exercise, each comprised of a set of Osoto-gari (15s), Uchi-mata (15s) and Seoi-nage (15s) throws were performed by each subject to ascertain throwing speed. Throws within the sets were intersected by one period of three minutes passive rest, while the trials were separated by one period of 10 minutes passive rest. Heart rate and the greatest number of throws within each set were measured for three trials. One-way analysis of variance (Anova) was used to compare the number of throws between the two weight categories and a “Student” test when the difference was significant. A correlation was used to examine the link between the different parameters. Results: The force–velocity test did not show a significant difference in pedal speed between the two categories. However, there was a significant difference between the two categories when throwing speed was measured by the number of throws (p < 0.05) executed during the Seoi-nage (p < 0.01) and Uchi-mata (p < 0.05) techniques. There was however, no significant difference between the two categories in Osoto-gari technique. Conclusion: The throwing speed of judoists represented by the number of throws is significantly different between the two categories. The lighter category has more speed than the heavier category using the arm technique (Seoi-nage), while the heavier category has more speed using the leg technique with half turn of the attacker's body (Uchi-mata). As a result, throwing speed is related to the type of technique used and not weight category. Verf.-Referat

Abstract

Objectif: L’objectif de la présente étude est de vérifier s’il existe une différence de performance en terme de vitesse de projection entre les catégories légères et lourdes. Méthodes et sujets: Seize (16) judokas âgés de 18 ± 3 ans, dont huit appartenant à la catégorie des légers (< 66 kg) et huit appartenant à la catégorie des légères et lourdes (> 73 kg) ont participé à notre étude après avoir signé un formulaire de consentement. Le test de charge vitesse a été utilisé pour déterminer la puissance anaérobie, la force et la vélocité pour chaque sujet. En outre, trois essais de Nage-komi, chaque essai est composé d’une série de Osoto-gari (15s), Uchi-mata (15s) et Seoi-nage (15s) ont été accordés à chaque sujet pour mesurer au mieux la vitesse de projection. Chaque série est entrecoupée d’une période de récupération passive de trois minutes et de dix minutes entre chaque essai pour chaque tori. La fréquence cardiaque, ainsi que le nombre de projections ont été relevés pour chaque essai. Nous avons utilisé l’analyse de variance à un seul facteur (Anova) pour comparer le nombre de projections entre les deux catégories et un test de « Student » lorsque la différence s’avère significative. Le cœfficient de corrélation a été utilisé pour déterminer le lien entre les différents paramètres. Conclusion: La vitesse du judoka représentée par le nombre de projections ne révèle aucune différence significative entre les deux catégories. Les légers paraissent plus rapides sur les techniques de bras (Seoi-nage), en revanche, les lourds sont plus rapides sur les techniques de jambes qui requièrent un demi tour du corps de l’attaquant, par rapport à son axe vertical (Uchi-mata). Par conséquent, la vitesse de projection n’est pas liée à la catégorie de poids mais plutôt à la technique employée. Verf.-Referat